Presse Léa Jeanne
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Les indépendants ont un mal fou à se faire une place au soleil. Un label appuyé par un site internet leur vient en aide
Les artistes indépendants n’ont pas pour mission de vendre leurs CD à la sauvette ! Or ils sont rarement diffusés à la radio. Les disquaires et à plus forte raison les grandes surfaces leur accordent peu ou prou d’espace pour des raisons de rentabilité. Isolé, un artiste auto-produit consacrera tant d’énergie à promouvoir son CD qu’il ne lui restera guère de temps à consacrer à son art, ce qui est franchement paradoxal.
hybridmusic.com se présente comme Atelier de recherche et création musicale, atelier créé en 1997 mais dont le concept remontait à 1992, au moment où son créateur J’hel envisageait de produire son CD Ether, premier d’une série de concepts. Sans doute lui-même dut-il passer par les affres de la distribution. Or, lorsqu’on va démarcher un disquaire, n’est-il pas astucieux, ne serait-ce que pour éviter plusieurs déplacements, de présenter plusieurs artistes ? De fil en aiguille, au fil des mois, s’étoffe un véritable catalogue d’indépendants. Et pas obligatoirement inconnus puisque, dans le catalogue que nous évoquons, se trouvent des noms aussi prestigieux (et aussi différents dans leurs styles respectifs) que Francesca Soleville et les Garçons Bouchers. Autour d’eux, des dizaines de débutants qui deviendront peut-être des vedettes.
Hormis l’aspect distribution, hybridmusic entend apporter toute l’aide qui peut s’avérer indispensable à un artiste qui se veut indépendant…. Ou qui ne peut pas faire autrement si ses démarches auprès des major companies se sont avérées infructueuses. L’artiste place son CD entre les mains du label qui va jouer le rôle de distributeur, auprès des disquaires mais également des médiathèques, facteur très important dans la propagation de l'art
Un espoir, mais pas un miracle. La tâche, la mission que s’est imposée hybridmusic est ardue. Il va lui falloir s’imposer chez les disquaires. C’est pas gagné… mais la réussite se mérite. Et puis, grâce à son site, hybridmusic peut rentrer dans chaque foyer. Il lui reste encore à régler un problème : il faudrait qu’en visitant le site l’internaute puisse écouter des extraits des albums proposés car, particulièrement en période de crise, le consommateur de base hésitera à commander un disque dont il ne sait rien. Mais la loi sur le copyright est complexe. Un grand pas, néanmoins, est fait gâce au CD-rom proposé par le label pour présenter, non seulement son catalogue, mais toute la palette de services proposés aux artistes.
Ouf ! Un disque qui n’est pas surproduit, c’est reposant. Beaucoup d’artistes font tant joujou avec la technique qu’il est fatigant d’écouter leurs productions trop sophistiquées pour y discerner beauté des mélodies et pertinence des textes. Au début des années 80, deux facteurs ont profondément modifié l’esprit de la chanson : le clip et la bande FM. Dans l’espoir d’être diffusé à la radio, les producteurs ont privilégié le son au détriment du feeling. Et avec le clip, ils se sont encore un peu éloignés de la notion de chanson pour penser film.
Retour aux sources et à la logique : à la première écoute, l’auditeur sait s’il apprécie la chanson sans être obligé de l’écouter plusieurs fois. S’il le fait, ce sera pour le plaisir de la réécouter et non pour savoir si c’est une bonne ou une mauvaise composition. Les arrangements et les orchestrations sont tout simplement efficaces et permettent ainsi à l’auditeur d’écouter les textes sans avoir recours au casque et au tube d’aspirine ! Pour présenter Crépuscule et Le Jour J, la présentation du label explique : Un jeu de piano et guitares subtil, une voix grave assurée et profonde, des contre-chants opposés mais complémentaires, une section drum’n’bass bien présente.
Il s’agit là de musiques d’ambiance contemporaine aux multiples influences drum’n’bass parfois dub électro, house voire technoïsantes avec des sonorités ethniques aux couleurs orientales, africaines, indiennes d’Amérique ou des Caraïbes…. Album concept dont chaque titre évoque des personnages de légendes (Hélios, Ménélas, Zeus, Thémis, Séléné, Iris, Cassiopée, Eole, etc).
Daniel Lesueur
La voix peut être puissante tout comme elle peut être très douce.
Léa Jeanne, originaire du Nord, a été baignée dans le monde musical depuis sa tendre enfance. Dès l’âge de 13 ans, elle préfère la guitare et ses parents lui offrent des cours de musique classique. Deux ans plus tard, ayant acquis les bases, elle se lance dans le registre rock en travaillant les « grands » comme Nirvana, Noir Désir, ou encore Berrurier noir sans oublier cependant Les Doors ou Hendrix. Parallèlement, l’adolescente est éprise de poésie et elle forme vite un groupe : Alouest avec sa sœur à la batterie…
Puis, Léa Jeanne arrive dans la métropole nordiste, Lille, pour entamer des études universitaires en sociologie. Pour autant, elle ne laisse pas tomber la musique, sa grande passion et un jour, elle fait une rencontre étonnante car J’hel cherchait une chanteuse pour mettre au point un CD.
Cette rencontre fut une espère d’osmose entre les deux artistes et de là naquit le premier album de Léa Jeanne : Crépuscule. Depuis dix ans désormais, ils vivent une passion commune et travaillent en tandem. Pour information, J’hel est le fondateur du site indépendant www.hybridmusic.com, qui donne sa chance à des artistes peu connus pour les promouvoir un peu partout.
Léa Jeanne s’est déjà produite lors de concerts ou d’émissions de radio, d’autres sont prévues en Belgique, en Suisse, mais aussi aux USA et au Canada…
Sur son dernier CD, l’on peut écouter 13 titres, des chansons aux textes aboutis interprétés par une voix douce et chaude à la fois et qui n’a rien à voir avec la StarAc ou la Nouvelle Star. À 30 ans, Léa Jeanne veut vivre de sa passion et c’est loin d’être un crime car au moins, c’est une vraie musicienne et une vraie chanteuse qui n’écorchera les oreilles de personne !
Catherine Desplanque
Quand on ne parcourt pas les sentiers battus, quand on est en dehors des structures traditionnelles, il est parfois difficile de creuser son sillon. C’est ainsi qu’il vient de s’écouler presque huit ans entre le premier album de Léa Jeanne et son second opus. L’équipage est resté le même, Léa Jeanne et J’hel écrivent et composent, tandis que J’hel apporte en plus sa contribution dans les arrangements.
Ce second album est moins guerrier, moins conquérant, un peu plus sage. Le texte et la mélodie ont pris le pas sur la musique rock. Le chant met désormais mieux en valeur la belle voix grave de Léa jeanne. Voilà un disque qui réconcilie rock, chanson et qualité. Les paroles, d’apparence simples, contiennent souvent un sens caché et profond pas toujours facile à discerner, preuve d’une véritable écriture.
Je me dois enfin de dire un mot sur la présentation soignée dans la diversité du graphisme, des montages photographiques et des couleurs.
Un très bon et un très beau produit.
Alain Stievenard
Le début d'une grande aventure.
Poly-instrumentiste, Léa Jeanne joue de son talent pour se lancer dans sa passion. A 22 ans, elle réalise son premier CD.
Le crépuscule, c'est la direction où le soleil décline, s'éteint et meurt...mais cette mort de l'un est aussi annonciatrice de l'autre : un nouvel espace, un nouveau temps et le début d'une marche vers l'avenir. C'est justement vers cet avenir que Léa Jeanne marche. A 22 ans, elle vient de réaliser son premier CD "Crépuscule". "La valeur n'attend point le nombre des années" et Léa Jeanne le sait bien, ses textes sont sensibles et justes et, en réalisant ce CD, elle franchit peut-être la première grande étape d'une carrière. La musique, ça a toujours été sa passion. Elle a commencé à pratiquer la guitare en autodidacte, puis la basse est venue se greffer, puis la batterie, puis le piano et récemment le violon. Eprise par le monde de la musique, la jeune femme va vite former un groupe avec d'autres musiciens : Unconito. Elle y est guitariste, compositeur et chanteuse à la fois. Les répétitions se multiplient, le groupe se loge dans le rock français indépendant. Une belle aventure qui continue encore : le projet du groupe est de se lancer dans les concerts dés le printemps et, qui sait, d'enregistrer un CD.
Mais l'histoire de Léa Jeanne ne s'arrête pas là. Il y a un an, par la magie du hasard, elle rencontre J'hel, auteur-compositeur. Il tombe amoureux de sa voix et, au terme de plusieurs auditions, il lui propose de travailler avec elle et de l'amener à enregistrer un disque. Le rêve passe vite à la réalité, J'hel et Léa Jeanne travaillent ensemble, ils concoctent des mélodies et paroles qui transportent celui qui écoute dans une atmosphère à la fois intimiste et communicative. Douze titres sont composés. L'enregistrement en studio est vite bouclé et le CD est né. Léa Jeanne a eu du plaisir en réalisant cet album : "J'ai appris beaucoup de choses en préparant ce CD et je me suis aussi beaucoup amusée ! En fait j'ai concrêtisé quelque chose qui était abstrait depuis des années : un rêve qui se réalise ! Mes parents ont compris que c'était quelque chose de sérieux pour moi, j'espère que c'est le début d'une grande aventure". Son CD est sorti en septembre dernier, en 500 exemplaires. C'est l'Atelier hybrid'music qui l'a soutenue. Cet atelier , qui fait la promotion des artistes indépendants réalise ses productions avec une équipe qui se compose de J'hel, Domiga et désormais Léa Jeanne.
Ce premier album se montre tantôt mélancolique, tantôt plein de dérision. C'est une balade dans une large palette musicale : le reggae, la techno-dance, le rock...Avec une voix grave assurée, elle sait passer de la douceur au martèlement. Ses chansons s'écoutent comme des histoires insolites explorant des territoires intimes. En cyber-guerrière sûre d'elle, la jeune femme débarque sur les ondes en apportant un souffle de fraîcheur. A vous de le sentir et de le vivre...
Attention talent!
Il y a des artistes qui vous marquent dés la première écoute. Léa Jeanne en fait partie. En écoutant "Crépuscule", on se laisse prendre par une atmosphère intimiste mais communicative, provenant de mélodies et paroles exprimant un vécu". Comme elle le souligne, "cet album est vraiment un constat, un morceau de vie de mon vécu". Trés rafraichissant, il est un lieu de mix musical où se côtoient tour à tour diverses tendances : world, trip hop, techno-dance, ballade, rock. Dés la première écoute, vous êtes "accrochés" par une magnifique voix grave, assurée et profonde. "Ces chansons s'écoutent comme des histoires insolites explorant des territoires personnels". A la base de cette découverte, l'atelier hybrid'music et son "épine dorsale" le producteur J'hel. Ce troisième album conçu avec Léa Jeanne lui a permis d'aborder le registre du vocal. Ayant préalablement conçu plusieurs musiques de l'album, il recherchait une chanteuse. "Ma rencontre avec Léa Jeanne est basée sur le feeling" dit-il. Après un an de travail, voici "Crépuscule", le fruit d'une recherche musicale et "d'instants de vie".
Il y avait quelques années que j'hel, le compositeur phare de l'atelier Hybrid'music, cherchait une voix pour accompagner ses compositions, c'est chose faite depuis un peu plus d'un an avec Léa Jeanne, Un an que la chanteuse et le compositeur ont mis à profit pour harmoniser leur travail et sortir il y a quelques temps, Crépuscule, le premier fruit de leur travail commun. Onze morceaux composés par J'hel, deux par Léa Jeanne, interprétés par cette dernière.
S'il faut chercher une unité à l'ensemble, c'est du côté de la musique de J'hel, une musique dont l'origine électronique se fait sentir sans écraser les styles qu'elle explore depuis le rock jusqu'au reggae en passant par le trip-hop.
Côté textes, l'ensemble s'avère tantôt mélancolique, tantôt ironique, le tout soutenu par la voix de Léa Jeanne.
Crépusculaire Léa Jeanne?
A 22 ans, cette étudiante en sociologie vient de sortir son premier CD. Rencontre avec une polyinstrumentiste de talent.
Léa Jeanne est loin d'être arrivée au crépuscule de sa carrière, comme pourrait le laisser croire le titre de son album, Crépuscule. Bien au contraire, cette jeune femme de 22 printemps ne semble en être qu'à ses prémisses.
C'est pour jouer la musique du film "Jeux interdits" à sa soeur que Léa Jeanne s'est mise à la guitare. A cet instrument de prédilection est venu se greffer la basse, la batterie, le piano. Très vite, la jeune femme forme, avec sa soeur (batterie) et d'autres musiciens, le groupe Unconito, dont elle compose tous les morceaux (paroles et musiques). Entre rock indépendant et progressif, les répétitions se multiplient d'abord chez ses parents, et depuis quelques temps à Preux au Bois, une commune voisine. Tout aurait pu en rester là, mais...
Il n'aura donc fallu qu'une rencontre pour que le petit univers de Léa Jeanne soit bouleversé et prenne ainsi une autre dimension, une autre tournure. Cette rencontre, c'est celle de l'auteur-compositeur, J'hel. Cette rencontre, c'est aussi celle du hasard. Car c'est un peu grâce à lui que, parfois, des grandes carrières sont révélées. Alors qu'elle chantait dans un groupe de rock, J'hel a été séduit par la voix de Léa, jusqu'à revenir plusieurs soirs de suite. Pour finalement lui proposer de travailler ensemble, avec pour objectif l'enregistrement d'un disque.
Mais réussir un disque, c'est un peu comme pour réussir un gâteau, il faut que les bons ingrédients soient réunis. Ces ingrédients ont pris la forme, ici, de textes et de musiques. Sur les douze morceaux que compte l'album (plus "Quelques mots silencieux" un bonus de plus de quatre minutes), deux, "Seulement elle" et "La fin", ont été entièrement écrits par Léa Jeanne (elle a également composé la musique), tandis que "Fais-moi changer" a été écrit en collaboration avec J'hel.
Tous les morceaux en poche, nos deux compères investissent la douce chaleur d'un studio d'enregistrement. Une chaleur qui fait vite place au jugement implacable des tables de mixage. Ici, les moindres écarts de voix se repèrent facilement. Il ne faudra que quelques jours, pour boucler l'enregistrement des treize titres du CD sorti en septembre.
Léa Jeanne avoue sans complexe que cette expérience pour le moins enrichissante l'a rendue plus exigeante avec elle-même, bien sûr, mais peut-être aussi avec son groupe. "Dès que je sens que cela ne va pas, je préfère m'arrêter, puis reprendre, jusqu'à ce que soit mieux". L'étape du CD franchie, Léa Jeanne aspire maintenant à faire de la scène et pourquoi pas d'enregistrer avec son propre groupe Unconito. "Je continue toujours de répéter avec mon groupe et j'aimerais beaucoup faire des concerts. Je m'y prépare depuis plusieurs mois", observe-t-elle, nichée dans un fauteuil de sa chambre, tandis que dehors la neige tombe à gros flocons.
Nathalie Waroux.
Crépuscule, le premier album, très mature, de Léa Jeanne.Crépuscule, c'est le premier CD, le premier album, plein d'une énergie très communicative, de Léa Jeanne. Cette jeune femme, originaire d'Englefontaine dans l'Avesnois, n'a que 22 ans, mais elle surprend par son assurance, la richesse des textes et de la musique. Le style est plutôt intimiste, mais sa voix, aux dominantes graves, bien soulignée par une musique rythmée, sait passer de la douceur traînante au martèlement, de la mélancolie à la gaieté, de la confidence au cri... Avec Léa Jeanne, on balance aussi entre rock, ballade, reggae, world... Le CD témoigne d'une personnalité déjà très affirmée. On devine chez cette jeune auteur-compositeur-interprête, une déjà longue expérience.
Sa formation, c'est la guitare classique. Puis elle s'est lancée, seule,dans la création. Suite logique, elle a contribué à la création d'un groupe, "Unconito", où elle est à la fois compositeur, guitariste et chanteuse. Il existe depuis cinq ans et s'est engouffré dans le rock français indépendant. Son but aujourd'hui, c'est de se lancer dans les concerts dès le printemps. Un CD figure aussi dans les projets du groupe.
Dans son aventure, Léa Jeanne a bénéficié du précieux soutien de l'atelier hybrid'music, basé à Lille. Cet atelier, de quatre ans d'âge, poursuit sa double activité. D'un côté, distribuer des artistes indépendants, avec son propre catalogue. Et, de l'autre, réaliser ses productions avec une équipe qui se compose principalement de J'hel, lui aussi auteur-compositeur, Nude, et depuis un an environ, Léa Jeanne et Domiga.
Ce premier album est ainsi le fruit d'un travail en commun : deux titres repris de son groupe, un accompagnement signé J'hel et dix autres où, bien entourée, elle a mis énormément d'elle-même. Un CD à découvrir pour les amateurs du genre...
B.K.
Derrière ses yeux de velours, elle a des airs de cyber-guerrière, une voix grave et profonde. L'univers de Léa Jeanne commence au Crépuscule.
Au départ, une rencontre. "Je l'ai entendue chanter dans une répétition, en simple choriste. Mais tout m'a plu en elle. Sa voix, ses intonations, sa personnalité, son look", explique J'hel, créateur de l'atelier hybrid'music.
Quand à la perle rare, elle s'appelle Léa Jeanne, 22 ans, étudiante en sociologie, mais aussi musicienne, polyinstrumentiste et possède déjà une voix chaude et puissante.
"Nous avons commencé par faire des essais. Léa Jeanne s'est vite adaptée à tous les styles des chansons. Elle n'a pas plus éprouvé de difficultés face aux rythmes complexes des musiques que j'avais écrites", poursuit J'hel.
Le résultat est un disque surprenant (Crépuscule) qui allie la (bonne) variété aux styles les plus actuels, qu'ils soient reggae, dub, trip-hop, ou world. "Musicalement, on est sur la même longueur d'onde", explique Léa Jeanne. C'est pourquoi elle s'est laissé guider par les compositions de J'hel, quitte à ne signer que deux des chansons de l'album. "Mais il y aura une suite", ajoute-t-telle, suggérant qu'elle pourrait s'investir plus dans la composition.
Pour J'hel, qui a déjà signé deux disques (Ether et Protonic), le premier plus marqué par la musique contemporaine, le second plus techno, les musiques composées pour Léa Jeanne s'ouvrent sur un monde résolument plus intimiste et chaleureux. Musicalement, il renoue aussi avec des harmonies plus classiques.
Quand à la chanteuse qui s'exprime par ailleurs au sein d'un groupe nommé Unconito (rock indépendant), ce disque lui offre de s'exprimer de façon plus personnelle. Et c'est ainsi qu'entre mélancolie et dérision, elle pose sa voix grave et profonde sur des textes en français...
C.Bd'H.
Les productions que vous nous avez envoyées retiennent toute notre attention et sont d'ores et déjà diffusées régulièrement sur notre antenne. Nous aimons particulièrement la chanteuse Léa Jeanne, qui posséde à mon sens un énorme potentiel, et j'apprécie beaucoup la musique qui est très originale, ce mélange de genres permet de sortir des sentiers battus et c'est tant mieux.J'espère que vous nous enverrez vos autres productions que nous ne manquerons pas de passer sur nos ondes.